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Focus On « Records or not Records »

11 février 2022 by Pulseaddict
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FOCUS ON c’est quoi ? Une nouvelle série d’interview te présentant les labels underground se battant pour promouvoir des sorties pointues et qualitatives à souhait ! 

Pour commencer, on a eu l’honneur de rencontrer Baume créateur de Records or not Recors un label Grenoblois qui n’a pas finit de faire parler de lui !

 

PULSE ADDICT : « Salut Hugo, tout d’abord peux tu nous présenter ton label Record or not record ? »

BAUME : « Salut Pulse ! Déjà un grand merci de m’avoir invité à parler de notre label. Car oui, aujourd’hui nous sommes 2 personnes sur le projet. J’ai l’immense chance d’avoir Noyo_Chromatic à mes côtés, sans qui Records or not Records ne serait pas ce qu’il est.
Et pour répondre à ta question, nous sommes un label de musique électronique, mais pas que. On cherche à promouvoir la musique et l’art au sens large. Voilà en gros le message. »

PULSE ADDICT : « Qu’est ce qui t’a poussé à créer cette entité ? »

BAUME : « Ça rebondit parfaitement avec ma réponse précédente. Si j’ai voulu créer ce label, c’est parce que j’ai toujours eu une vision très très large sur la musique et l’art. Je m’intéresse à plein de chose, et j’me suis dis que ce serait sympa de pouvoir regrouper tout ça sous une même entité. De ne pas avoir à se brider quand une idée de release ou de projet me vient. Et Noé (Noyo_Chromatic) partage totalement cette vision, du coup c’est l’osmose parfaite. Toujours chercher à se renouveler, suivre nos idées et nos influences du moment. C’est comme ça que l’on se fait plaisir. On change d’univers à chaque release (qui sont quand même la lige directrice du label), autant sur le côté visuel que musical, tout en proposant des projets artistiques en annexes. »


PULSE ADDICT : « Comment gère-tu la direction artistique de ton label ? »

BAUME : « Du coup, la DA du label évolue de jour en jour, en fonction de nous et de nos découvertes. On a donc répartie la DA en deux : Noé pour la partie graphique/visuel, et moi la partie musique/projets artistiques. Mais honnêtement, on partage chacune de nos idées et on en discute ensemble. On s’écoute et se fait énormément confiance. On a pu proposer des clips avec des danseurs, travailler avec des réalisateurs d’univers différents pour des clips, des vêtements que l’on a conçu nous mêmes ou d’autres avec une artiste qui fait de l’upcycling, un projet de photo pour un article plutôt narratif, et j’en passe ! Ça ne fait que 2 ans qu’on existe, et les idées continue à fuser. On espère que le public appréciera notre approche autant que nous. »
 

PULSE ADDICT : « Niveau projets tu nous prépare quoi pour 2022 ? »

BAUME : « On a passé 2 premières années avec un rythme assez intense, c’était parfait pour lancer le projet, nous a permis de voir comment on travailler mais également donner un bon aperçu de ce que l’on imaginait. Du coup 2022, même si l’on continue sur la lancé, va être une année clé sur l’évolution du label. On a tout de même notre 3ème compilation CD, mettant en avant la scène Grenobloise, avec une belle release party qui on l’espère, pourra avoir lieu le 18 Février à l’Ampérage à Grenoble. On a aussi un EP d’un artiste qu’on a hâte de vous annoncer et un VA, dont je laisserai la DA musicale à Noé. Et quelques idées de projets artistiques annexes, de photos, de vêtements.. Puis on commence à se lancer dans l’événementiel, qu’on avait pas pu pratiquer en temps de Covid, et on se rend compte que ça demande un travail de dingue aussi. On peut rien annoncer à ce sujet pour le moment, on garde un peu de surprise. »

PULSE ADDICT : « Un petit mot pour la fin ? »

BAUME : « Bah j’aimerai remercier, et je parle au nom de Noé aussi, toutes les personnes avec qui on a pu collaborer dans ce projet, des artistes et personnes incroyables. Mais également toutes les personnes qui, de près ou de loin, nous soutiennent et nous donnent le force d’avancer. Franchement, c’est aussi grâce à vous si Records or not Records grandit de jour en jour. »

PAS UNE FIN POUR LE TERMINAL

8 juin 2020 by Pulseaddict
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Pendant le confinement et cette nouvelle période que nous vivons désormais, Pulse Addict est allé à la rencontre de différents acteurs de la musique électronique. Qu’ils soient musiciens, bookeurs, exploitants ou directeurs artistique, nous avons échangé autour d’une thématique : la fête de demain.

Deuxième portait de la série avec Philippe FRANCESCONI, gérant du Club lyonnais le Terminal depuis trois ans. Il nous partage ses inquiétudes et sa vision de la teuf du futur… Une crise qui n’est pas sans incidence pour son club qui pourtant, affichait un bilan rentable pour la première fois depuis son arrivée.

Pulse Addict : « QUELLE ÉTAIT VOTRE DERNIÈRE SOIRÉE ? »

Philippe Francesconi : « Le début du confinement s’est effectué le 12 ou 13 Mars. On n’a pas voulu prendre de risque et on a fermé le samedi avant l’annonce. On ne voulait pas passer pour des shlags. Il n’y a pas eu une seule activité depuis. On a eu quelques avancés par rapport au Nuit Sonore. On a pu s’organiser assez rapidement quand ils ont annulé. Ça nous a permis de souffler un peu. On a toujours le loyer à payer, la TVA, etc. Il y a eu beaucoup d’annonces pendant le confinement mais pas grand chose en terme d’aide. Quoi que je fasse, je ne vois pas comment je peux monétiser quoi que ce soit. Ils ont exonérés les charges sociales mais ce n’est pas assez malheureusement. Faut quand même avancer des salaires, c’est compliqué. Comment on va ouvrir ? Les petits commerces ont réouvert mais nous c’est le flou total. »

Pulse Addict : « QUELLE EST VOTRE STRATÉGIE POUR L’OUVERTURE ? »

Philippe Francesconi : « La seule solution que j’ai actuellement c’est de faire un prêt à la banque pour sortir la tête de l’eau. On a quasiment fini de payer le prêt initial. On devrait pouvoir s’en sortir. La deuxième chose c’est comment tu veux mettre en place une distanciation sociale ? Est ce qu’on va être obligé de porter un masque, est ce qu’on sera tenu responsable en cas de Covid ? Qu’est ce qui va se passer pour des lieux comme les nôtres qui accueillent du public ? Soit on vie avec et on s’en fiche… Et puis même ! Si je baisse ma jauge de capacité, qui est de 100, par deux… je ne suis pas rentable. C’est très difficile de se projeter sans date. Ah et qu’est ce qu’on fait des surfaces ? Le contact des surfaces, tu dois tout le temps nettoyer comme on voit dans les écoles, les transports. Nous tu rajoutes en plus l’alcool. Tu dois picoler aussi. Comment tu fais ? Quand t’es alcoolisé tu ne vas pas du tout respecter les règles. Donc si jamais les gens font n’importe quoi, qui est responsable ? C’est toutes ces questions qui sont vitales auxquelles il faut répondre rapidement. Puis moi j’ai des appréhensions pour le public. Je pense que les gens sortiront mais bon, j’imagine un peu difficilement la teuf dans des clubs comme le mien alors je ne te parle même pas des gros clubs. J’ai eu une jauge proche d’un bar donc je pourrais peut être m’aligner sur quelque chose d’intéressant pour le club. On pourrait très bien changer nos heures mais c’est un parti pris d’être calquer sur des horaires de club. Puis nous on n’a pas de terrasse, c’est un spot fermé et c’est bas de plafond. Donc transformer le Terminal en bar c’est délicat. Pour ce qui est de l’ouverture, je me projete pour mi-juin mi-juillet. Ça peut être envisageable quand tu vois ce qu’il se passe en Allemagne. En terme de programmation, on a tout remis à plat. Tout ce qui est international c’est mort. Donc l’idée c’est peut être de s’ouvrir un peu aux assos du coin. Ça serait de jouer un peu plus la carte de la scène locale, pour qui ça a été compliqué aussi. L’idée c’est de proposer une programmation un peu solidaire tout l’été, de faire jouer le plus de gens possible, axer local. On a besoin de travailler le plus tôt possible. »

Pulse Addict : « QUELLE EST TON OPINION DE LA GESTION DU MINISTÈRE DE LA CULTURE ? »

Philippe Francesconi : « Je pense qu’on est un peu mis de côté. Le cinéma a eu une visibilité bien supérieure à la notre. Et tant mieux pour eux ! Ce que j’ai vu du président et ce qui il y a eu derrière est insuffisant. Notamment pour les gérants comme nous. Je pense qu’on n’est pas la priorité. Je trouve ça con qu’il y ait beaucoup d’énergie dépensé pour les écoles alors que ça ne change pas grand chose que les enfants aillent à l’école dans ces conditions et vu le temps de classe qu’il reste. Attention, je comprends tout à fait que les parents soient au bout ! Pour nous, on pourrait commencer à envisager des choses mais il faut qu’on discute avec les assos lyonnaise et qu’on s’organisent ensemble. »

Pulse Addict : « JUSTEMENT, COMMENT VOUS ORGANISEZ VOUS ENSEMBLE ? »

Philippe Francesconi : « On a un peu les mains liées pour l’instant. On peut anticiper un peu et se calquer sur ce que font les bars pour avoir des idées. On est tous dans l’attente. Les artistes vont vouloir jouer ! Il va falloir qu’on discute avec eux aussi. Je crois que de toute façon, on va tous adopter la même stratégie : à savoir jouer sur le local et ça sera à chacun de s’adapter. Nous de notre côté, il va falloir qu’on soit très réactif ! « 

 

                             Propos recueillis par FELIX MEUNIER

Crédit photo : Gcp Lyon

RENCONTRE AVEC FAKEAR

25 mai 2020 by Pulseaddict
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Pendant le confinement et cette nouvelle période que nous vivons désormais, Pulse Addict est allé à la rencontre de différents acteurs de la musique électronique. Qu’ils soient musiciens, bookeurs, exploitants ou directeurs artistique, nous avons échangé autour d’une thématique : la fête de demain.

Premier portait de la série avec Fakear, cet auteur/compositeur originaire de Caen. Un Normand qui vous veut du bien en vous invitant à voyager avec lui, dans un univers poétique et électronique aux mélodies rythmées…

PULSE ADDICT : « COMMENT ES TU SOUTENU EN TANT QU’ARTISTE ? »

FAKEAR : « En vrai, je ne me suis pas trop renseigné. J’avoue que je profite un peu de cette situation qui privilégie légèrement certains musiciens. J’ai de quoi vivre dans les cas de coups durs comme ça ! Je ne suis pas hyper attentif à ce que le gouvernement a mis en place pour les artistes puis ça a à l’air complètement bancal au fond. Après au niveau des labels, etc., je suis hyper sollicité pour créer du contenu. Mais pour ce qui est des tournées, je crains que l’année prochaine soit hyper bouchonnée… »

P A : « COMMENT AS-TU AIDÉ LES STRUCTURES QUI DEVAIENT T’ACCUEILLIR ? »

FAKEAR : « Toutes les dates ont été reportées. Du coup, il y a un délire où les billets sont valables pour les concerts d’après. Mais on est un peu dans un process où on sait pas quand les concerts de plus 1 000 personnes vont pourvoir reprendre. Tous les artistes posent des options pour des salles, mais le problème c’est que parfois il y a trois ou quatre artistes programmés le même jour. Pour ma part, j’ai confirmé ma tournée d’octobre en France. Sans être certain qu’elle puisse se tenir mais de cette façon, les gérants des salles peuvent gérer leur calendrier. Ça évitera la foire où tout le monde se brusque pour avoir une date. On confirme maintenant quitte à reporter de nouveau. Ça apporte un peu de visibilité. Enfin je pense que ça fonctionne comme ça dans la tête d’un programmateur. »

P A : « QUELS SONT TES PROJETS PENDANT CE PROCESSUS DE DÉCONFINEMENT ? »

FAKEAR : « Réussir ce déconfinement sans faire de burn-out ! C’est hyper violent. Comme le confinement l’a été… Toute la campagne autour de mon nouvel album a été avancé. J’ai pu prendre le temps de me filmer, créer du contenu en étant chez moi, c’était hyper confortable. La vie reprend petit à petit et ça nous laisse moins de temps. Le gros défi est de réussir à appliquer tout ce que l’on a mis en place pendant ce confinement niveau personnel et niveau santé. On a jamais été en meilleure santé que pendant ce confinement finalement ! »

P A : « QUELLE EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE TU AS FAIT AU LENDEMAIN DU CONFINEMENT ? « 

FAKEAR : « Fêter mon anniversaire avec mes potes ! C’est ce qui m’a manqué le plus… discuter avec des gens en face-à-face. C’est hyper marrant en fait. Tu as été face à toi même pendant deux mois et là tu reparles à des gens différents quoi. »

P A : « COMMENT IMAGINES-TU L’ÉVÉNEMENTIEL AVEC LES GESTES BARRIÈRE ? »

FAKEAR : « J’imagine que ça va être compliqué pour l’événementiel… J’ai vu qu’au Danemark, certaines structures ont mis en place des Live CARS. J’ai dû mal à imaginer un pogo en bagnole.
La teuf dans la culture occidentale, c’est vraiment un endroit où tu lâches prise, tu perds totalement le contrôle. Tu oublies toutes ses barrières de sécurité… Tu mets tout par terre et c’est trop cool d’être sale pendant une semaine. J’imagine que ça va reprendre au moment où l’on pourra être à nouveau sale ! »

P A : « IL SE DIT QUE TU PRÉPARES UN NOUVEL ALBUM OÙ TU MARQUES UNE RUPTURE AVEC UN CYCLE DE TA VIE. PEUX-TU NOUS LE PRÉSENTER ? « 

FAKEAR : « Cet album sort le 26 juin prochain, il s’appelle Everything Will Grow Again . C’est un peu différent de ce que j’ai pu faire. Ça a été un long process pour arriver à ces morceaux-là. Ce style « d’electro chill » dans lequel j’étais, s’est complètement fait teinter par l’EDM.
Pour moi le chill, c’était les premiers albums de Bonobo. Partant de ce constat-là, je me suis dit qu’il fallait prendre le taureau par les cornes puis tout recommencer. Afin de parvenir à un truc qui me ressemble vraiment, en osant balancer les restes à la poubelle. Techniquement, j’ai changé tout ce que j’avais mis en place depuis le début pour atteindre ce que je voulais, quelque chose de plus pointu. Carrie, mon premier morceau qui est sorti, fait assez bien le pont. »

P A : « QUEL MESSAGE SOUHAITES-TU TRANSMETTRE AVEC CE NOUVEL ALBUM ? »

FAKEAR :  « Les morceaux communiquent pas mal d’émotions mais c’est assez peu défini. Pour le moment c’est complètement le bordel.
Le titre Everything Will grow again est un cri d’espoir, avec cette idée que quoi qu’il advienne tout repoussera de nouveau. Mais ça me plaît de laisser une interprétation libre à chacun de mes morceaux. Avec quand même un titre très fort qui semble montrer une direction. »

                  Constance Chevrère & Felix Meunier.

                  Crédit photo : Juliette Leigniel.

(Les restrictions de déplacement ne nous le permettant pas, cette entrevue a été réalisée par téléphone)

LE 2.0 AU SERVICE DE LA CULTURE

12 avril 2020 by Pulseaddict
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Pour contrer le confinement dû au Covid 19, plusieurs associations et organismes s’organisent pour assurer le rôle des structures “ club “. Si ces dernières en pâtissent, les premières citées fleurissent*. Partout en France et à l’international, les DJ’s enchaînent les performances en posant face caméra pour elles. 

 

Vous les avez vu ? Ils sont partout… Du cousin de votre pote de vacances du Club Med’ quand vous étiez petit à Bob Sinclar, les Disc Jokey sont dans la tendance (Tom Misch fait le taff aussi !).
Alors pour les plus gros poissons, il suffit de balancer brut de décoffrage un DJ set/mix et de compter sur leur fan base puis de poster le tout sur les réseaux sociaux.
Les artistes de moindre envergure peuvent eux, s’appuyer sur des associations et autres infrastructures assurant un service de prestation vidéo. Ce faisant, ils peuvent mutualiser voire gonfler l’audience dans le coin gauche de leur séance vidéo Facebook. L’union fait la force. Si parfois les moyens déployés sont sommaires, d’autres asso offrent un travail léché. Certaines font dans le qualitatif, d’autres dans la quantité. Le juste milieu étant le strike.

Le milieu de la fête est au ralenti. Beaucoup de festivals serrent les fesses et (sur)vivent , en espérant que le jour J, le confinement soit levé. D’autres en ont déjà fait les frais (voir la lettre ouverte du Syndicat des Musiques Actuelles). Pour autant, les initiatives évoquées plus haut sont une bouffée d’air frais dans nos appartements et maisons – pour les plus chanceux.euses – qui manque cruellement d’ O2 pur. Comme un majeur de la main bien tendu au corona. 
Parfois on booty check devant ces vidéos visibles sur les réseaux. On se sert un riflon, on appelle les copains, on apprécie tout simplement d’une oreille attentive le bon son… On (re)vit. Alors le choix est vite fait. Il faut soutenir ces actions. C’est bénéfique pour vous et ça peut sans doute aider ces protagonistes par un geste simple et quelques clics.
Pulse Addict a entrepris pour vous une liste non-exhaustive (puisqu’ils sont nombreux ces salauds là), de ce qui passe près de chez vous. Alors ne boudez pas si vous n’êtes pas dessus et envoyez nous plutôt vos coordonnées ici !

 

CHEZ LES GONES

 

Lyon City Live est une hydre à plusieurs têtes formée au débotté pendant cette drôle de période. Soutenue par Konvergence, autrement dit Crock Radio 89.5, et Culturel Lyon, c’est un “ événement récurrent qui s’invite chez vous, chaque soir à 18h, pour découvrir des artistes et collectifs, acteurs de la musique électronique sous un format qui leur semble le bon : podcast, live, playlist  “.
C’est un rendez-vous qui a bien l’intention de démontrer que la scène électro lyonnaise reste toujours chaude comme la braise. Depuis sa création à la mi-mars, plus de quatorze collectifs et une vingtaine d’artistes se sont présentés au public devant la caméra, dans leur chaumière. Ainsi, il a pu voir évoluer derrière les platines Amertüme (Vita Rave), Bryce Wax  (Disco House Session), Patchouli FM, Märzhase (Mediateur Electronics), Pyxide -(Dusty Nation), etc.

Les Lyonnais auront pu voir passer aussi sur le fil d’actualité, l’initiative collective 1 Jour 1 Live. Le principe est le même : un rancard fixé tous les jours de 19h à 20h. Nombreux sont les collectifs, les asso et les établissements a avoir répondu à l’appel. Le petit plus ? Vous pouvez participer à leur cagnotte, accessible depuis les Live sur la plateforme facebook.

Pour aider financièrement la scène musicale lyonnaise de manière concrère, alors faites un tour chez Cyber Wear. Le concept est simple. C’est un site e-commerce qui met à votre disposition tout une gamme de vêtements. Des sapes confectionnées autour de l’univers de la musique électronique.
Les bénéfices récoltés sont reversés en intégralité au profit de l’ensemble des partenaires. Soutenez l’opération “ Ceci n’est pas un closing “ !

Si tous cette folle cohorte ne lâche pas le guidon (ils résistent toujours et encore…), certains ont déjà fini leur course. Comment ne pas souligner le bel élan d’FMR qui a lancé le week-end du 3 au 5 avril, un festival uniquement en live. Du bonheur en barre…

 

CHEZ LES TITI PARISIEN.NES

 

Notre belle capitale continue de battre au rythme des basses. Tous les coeurs des passionnés de la musique électronique continuent de tambouriner. Ce n’est pas une fin. C’est une nouvelle ère où la musique électronique s’empare de la sphère du 2.0.

Dans la capitale, bien de collectifs, artistes et associations continuent de proposer des initiatives face au COVID 19. Le collectif Possession se projette sur la grande scène internationale de la Warehouse et propose chaque jour des Podcasts d’artistes avec pour accroche #UnitedRavers. 

Par ailleurs, Itinéraire Bis  est entré en collaboration avec le festival Mawifamily et La Relève afin d’organiser des Live, où il est possible d’interagir et faire des dons reversés à la fondation Paris-hôpitaux de France. Toute l’équipe d’Itinéraire Bis se mobilise pour proposer une playlist hebdomadaire des nouvelles sorties musicales. Ils ont également joué le jeu, en partenariat avec Les Soeurs Malsaines, et proposé par Dure vie « La fête au balcon« .

Feel Free Records , ce jeune label prometteur a mis à disposition des podcasts. Léa nous confie : “ Nous avons trouvé des solutions pour ravir notre public, on a rediffusé des sets de nos deux dernières soirées (…). Nous avons également demandé à des artistes de nous faire des podcasts publiés sur notre Soundcloud “. 

Quant à eux, RAW Agency organise quand un festival online, vendredi 17 avril de 18h à 1h.

Vryche House a pris l’initiative d’offrir les places de leur Festival, qui se tiendra le 4 juillet prochain, aux corps de métier indispensables pour lutter contre la crise actuelle. 

Cap au Nord de Paris, dans la métropole lilloise !
Un collectif peuplé d’irréductibles jeunes prodiges fait parler de lui : La Bonne Fête. Ils ont décidé de mettre en place des sessions de live quotidiennes afin de continuer la fête en dépit de ce climat incertain.

Chez Pulse Addict ça bouge aussi ! Tous les jours à 17h45, on retransmet les vidéos des DJ’s qui ont collaboré avec nous.  À noter que chez Disco House Session aussi il y a de l’actu. Retrouvez les podcats des titulaires du crew and Guests.
On se retrouve sur les réseaux !

 

            Félix Meunier & Constance Chevrère.

*Il faut raison garder, tout le monde se passerait bien de ce Covid 19… 

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